CYBER-INTIMIDATION
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Des veillées destinées à commémorer son drame --et ceux d'autres jeunes victimes de l'intimidation-- devaient se tenir vendredi dans plusieurs villes, de Calgary et Edmonton en Alberta à Halifax en Nouvelle-Ecosse, ainsi qu'aux Etats-Unis, en Inde, en Espagne et au Japon, selon les médias canadiens.
A Toronto, quelque 250.000 élèves devaient observer une minute de silence en hommage à l'adolescente disparue et pour attirer l'attention sur le phénomène dont elle a été victime.
A London, la police s'est bornée à indiquer qu'une étudiante avait été la cible de harcèlement physique et émotionnel, ainsi que de cyber-intimidation.
Ce dernier terme recouvre essentiellement des messages agressifs lancés à travers les réseaux sociaux.
La police a affirmé avoir reçu des indications sur ce cas d'intimidation de la part de témoins qui l'ont contactée directement, ou via un portail permettant de lui adresser des informations à titre anonyme et qui a été installé sur le site internet de l'école concernée.
"L'enquête se poursuit et d'autres chefs d'accusation pourraient être formulés", précise un communiqué de la police.
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